Archives pour la catégorie Peintre

Graham GERCKEN

 

Voici des peintures de l’artiste de gain de paysage australien Graham Gercken, que j’ai découvert lors d’un projet sur le thème de la représentation du paysage.

Graham est un artsite passionné par la nature, pour lui « rien n’est plus beau qu’un paysage en automne ». Il a toujours été fasciné par la couleur, et c’est en voyant, un jour d’automne, les feuilles d’un arbre roussi dans le reflet d’une rivière, qu’il découvre sa passion. Les thèmes de ces peintures comprennent les falaises abruptes des Blue Mountains Canyons, les déserts arides de l’Australie centrale et Amérique du Sud-Ouest, les couleurs d’automne à de magnifiques plages du littoral et des dunes.

En effet, pour beaucoup d’artiste, les plus belle couleurs ne se trouve pas sur la palette d’un peintre, mais dans se qui nous entour : la nature. Les différents bleu de l’océan, les multiples dégradés que l’on peut voir dans le ciel à différentes heures de la journée, les feuilles en automne… c’est toutes ces harmonies colorées que voudrait transmettre Graham.

On pourrait penser que pour cet artiste, le retour à la nature est inévitable dans le monde de l’art : la nature , la roche, le pigment, la peinture, la toile, la représentation d’un paysage. « Nous étions poussière et nous redeviendrons poussière » a-t-on dit un jour, et bien, Graham, lui, n’est que nature…

Lien : http://fineartamerica.com/profiles/graham-gercken.html

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Georges MATHIEU

« La fascination pour un art que seul son auteur peut comprendre, est paradoxale. »   Cette phrase reflète beaucoup le travail de Georges Mathieu.

 

Le peintre Georges Victor Mathieu, dit Georges Mathieu né à Boulogne en 1921 vient de mourir. Toute la presse en fait l’écho, notamment L’Express, Le Figaro, Libération, Le Monde, La Croix, Le Point. Ce fils de banquier n’a pas reçu de formation académique. Il a commencé  des études de droit, de lettres et de philosophie et d’anglais. Dès 1942 il peint tout en enseignant.

 

En 1946 il expose pour la première fois au « Salon des moins de trente ans » et l’année suivant au « Salon des réalités nouvelles ». Ces œuvres tachistes sont alors réalisées en appliquant les couleurs sorties des tubes sur la toile avec les doigts. Sa démarche gestuelle et spontanée fait penser à l’approche de Pollock qu’il a fait connaître en France. Il veut ainsi s’opposer à l’abstraction géométrique. En 1947, il est lance le concept de «  l’abstraction lyrique »  lors d’une exposition qui, à la Galerie du Luxembourg, réunit Atlan, Abac, Arp, Bryen, Hartung, Riopelle, Ubac et Mathieu. Dans les années 1950 il réalise lors d’happenings, en public, des toiles de grandes dimensions dans un délai très court.

 

Dans les années 1960, le Musée d’art moderne de la Ville de Paris, mais aussi de Cologne, Bale, Genève,  lui consacrent des rétrospectives. Il est alors célèbre dans le monde entier. André Malraux le qualifie de « calligraphe occidental ». Il est alors le symbole du peintre officiel. Mais de nos jours sa  cote avait baissée. Cet artiste « touche à tout » a créé la pièce de dix France, le trophée des Sept d’Or, le logo d’Antenne 2, dessiné des timbres-postes, les plans d’une usine, des affiches pour Air France, imaginé des bijoux, des meubles et des tapisseries ou encore de la vaisselle.

 

J’espère que cet artiste vous aura plu autant qu’à moi, commentez sur Facebook.

Lien : http://www.academie-des-beaux-arts.fr/membres/actuel/peinture/mathieu/fiche.htm

Joseph Mallord William TURNER

Joseph Mallord William Turner est un peintre, aquarelliste et graveur britannique, né le 23 avril 1775 à Londres et mort le 19 décembre 1851 (à 76 ans) à Chelsea. Initialement de la veine romantique anglaise, son œuvre est marquée par une recherche novatrice audacieuse qui fait considérer celui que l’on surnomme le « peintre de la lumière » comme un précurseur de l’impressionnisme, avec son contemporain John Constable.

Artiste impressionnant par sa métrise de la couleur, des formes, de son pinceau. Il fait en sorte que la couleur soit assujettie au dessin ( c’est la couleur qui crée le dessin). Sans la couleur, ces tableaux n’aurais pas une si grande valeur. Sa façon de peindre par taches colorées est remarquable, il arrive a nous transmettre l’ambiance du lieu et de l’instant. Il aime beaucoup représenter des scène de soleil couchant pour la diversité de ces teintes et dégradé.

Qui n’a jamais regardé un couché ou lever de soleil en se demandant comment un élément jaune orangé, tel que le soleil, pouvait créer autant de teintes diverse en effleurant l’horizon? Turner a bien compris que la lumière joue un rôle très important dans la vision du monde et des paysages qui nous entour, et donc dans leur représentation sur une toile. Sur un même tableau, il peut mélanger couleurs chaudes (rouge, jaune, orange) avec des couleurs froides (vert, bleu, violet) et créer un contraste qui fait ressortir des ambiances très spéciales du tableaux.

Je m’arrête ici dans mon analyse avant de me laisser emporter par mon admiration. N’hésitez pas a aller voir plus de ces œuvres et à les commenter sur Facebook.

Lien : http://www.william-turner.org/

Frank STELLA

Frank Philip Stella, né le 12 mai 1936 à Malden, est un peintre américain considéré comme un précurseur du minimalisme ainsi qu’un des principaux représentants de l’Op Art avec Joseph Albers.
le plasticien s’empare également de l’aluminium et du cuivre pour réaliser une série de peintures alternant des bandes régulières de peinture colorée et de minces filets laissés vierges. L’artiste est alors un des premiers à explorer d’autres formats que le rectangle ou le carré, comme en atteste sa série ‘Irregular Polygon’, initiée au milieu des années 1960. C’est durant cette même période qu’il produit ‘Protractor Series’, des oeuvres où s’entrelacent courbes et carrés. Dès 1975, le peintre s’oriente cependant vers des constructions en relief, enchevêtrant une myriade d’arabesques colorées et des motifs découpés – allant des oiseaux exotiques aux vagues. Il est aussi l’auteur de sculptures colossales en acier poli ou brûlé, parfois inspirées du ‘Moby Dick’ d’Herman Melville. Deux rétrospectives de son oeuvre sont présentées au Museum of Modern Art de New York, respectivement en 1970 et 1987, et ‘Le Prince de Hambourg’, une de ses sculptures, est installée à la National Gallery of Art de Washington en 2001. Une véritable consécration pour cet artiste précurseur, qui a dominé sans conteste la scène artistique des années 1950.
Pour Frank,  ” L’abstraction est de toutes les démarches picturales celle qui a le plus de chances de prendre en compte la somme du savoir acquis par notre culture. Elle est adaptable et évolutive. Elle n’a pas besoin de faire des impasses peut-être même pas sur la figuration » autrement dit, Frank pensse que la peinture n’a pas besoin de représenter quelqu’un ou quelque chose, elle se suffit a elle même. Pour cet artiste, et beaucoup d’autres, la peinture doit suivre un chemin et non pas s’en détourné avec la représentation. C’est pour toutes ces raisons que Frank peint uniquement des bandes de couleurs.
Plus de Sujet, Plus de Formes, Plus de mouvements, mais de la couleur sur un grand format. Les Formes sont délibérément simplifiées a l’extrême, ramenées a leurs structures élémentaires, trait, point, cercle, carré et rectangle, fermement articules. Les lignes, plans et traces géométriques sont orchestrés dans la simplicité la plus radicale obligeant l’observateur a percevoir le « minimal » dans l’œuvre d’art, nettoyée de toute représentation subjective. Les couleurs vives, réduites à deux ou trois, s’imposent dans chaque œuvre et évitent tout effet spatial. Muette, impersonnelle et insignifiante, elle provoque l’œil du spectateur par l’appel chromatique, plus ou moins intense et par la surface sur laquelle s’entend cette couleur.
Au contraire de beaucoup d’artistes, il s’est intéréssé a la peinture elle-même et pas a sa représentation sur la toile. Il est revenu au base de la peinture : la peinture elle-même, le format et le support.
Allez découvrir ces oeuvres peut ordinaire dont on connait peu de chose.
Lien : http://www.centrepompidou.fr/cpv/ressource.action?param.id=FR_R-245a43202e74a929bc4d383bd37be5&param.idSource=FR_P-245a43202e74a929bc4d383bd37be5
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Edward HOPPER

Edward Hopper, né le 22 juillet 1882 à Nyack dans l’État de New York et mort le 15 mai 1967 à New York, est un peintre et graveur américain.

Exerçant essentiellement son art à New York, où il avait son atelier, il est considéré comme l’un des représentants du naturalisme ou de la scène américaine, parce qu’il peignait la vie quotidienne des classes moyennes. Au début de sa carrière, il a représenté des scènes parisiennes avant de se consacrer aux paysages américains et de devenir un témoin attentif des mutations sociales aux États-Unis. Il produisit beaucoup d’huiles sur toile, mais travailla également l’affiche, la gravure (eau-forte) et l’aquarelle.

Une grande partie de l’œuvre de Hopper exprime la nostalgie d’une Amérique passée, ainsi que le conflit entre nature et monde moderne. Ses personnages sont le plus souvent esseulés et mélancoliques.

On reconnais ces œuvres grâce a une facture (façon de travaillé avec l’outil) très caractéristique de Hopper. C’est un artiste emblématique! Et a voir absolument!

Site : http://www.artliste.com/edward-hopper/   Commentez sur Facebook!

 

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Auteur :

supermandesign

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